- 26 Avr 2018
Documentaires « In edit on tour: grandes nombres » à Alhaurín de la Torre (version originale sous-titrée).
Palmer voit le pop avec les yeux de 1968, donnant une voix aux détracteurs, aux pratiquants et aux rois couronnés. Un curé compare Londres à Sodome et Gomorrhe tandis que McCartney parle d'utiliser son pouvoir pour le bien. La musique classique commence son déclin. Sur le chemin, nous écoutons des morceaux en direct de Cream, de The Beatles, de The Who ou d'Eric Burdon.
Dans cette œuvre superbe, Tony Palmer voit le pop avec les yeux de 1968, il le gèle dans un moment décisif. C'est comme lire un article de l'époque, sans la perspective que le fil du temps des décennies accorde, lorsque tous ses participants sont placés dans le contexte. All my loving donne voix aux détracteurs, aux pratiquants et aux rois couronnés. Il est facile d'oublier le rejet que la musique pop provoquait autrefois : un curé comparait le Swinging London à Sodome et Gomorrhe.
Horaires d'ouverture
- (26 Avr 2018)